NIMA SARKECHIK / Récital de piano
- Astana :
29 novembre,
ouverture de l’exposition 18 h 30
concert 19h30
Centre culturel du Président
2, rue Respubliki
- Almaty :
2 décembre, 19h00
Kazakhconcert
83, Prospekt Abylaï Khana
- Mozart :Sonate K280
- Debussy : image (livre 1)
- Liszt : Sonate en si mineur
Le parcours de Nima Sarkechik et les récompenses qui le distinguent témoignent d’une étonnante personnalité musicale.
Son concert remarqué au Kennedy Center de Washington en septembre 2010 couronne une carrière internationale florissante : le jeune pianiste franco-iranien s’est notamment produit au National Museum de Londres, au Printemps des Arts de Monte-Carlo, au Festival de Saint-Ursanne, au Palais de l’Athénée à Genève, et Lincoln Center de New York.
On l’entend en France sur des scènes prestigieuses, parmi lesquelles la Folle Journée de Nantes, le Festival de piano de la Roque d’Anthéron, le Théâtre des Champs-Elysées, la Cité de la Musique, la Salle Gaveau, le Festival de Radio-France, l’Auditorium du Musée d’Orsay, le Festival des Nuits romantiques du Lac du Bourget.
Lauréat de la Fondation de France en 2003, Nima Sarkechik remporte un an plus tard le 1er Prix au Concours International de Piano « Son Altesse Royale La Princesse Lalla Meryem » à Rabat. En 2005, il devient lauréat de la Fondation du Groupe Banque Populaire, puis de la Fondation Meyer en 2006. L’année suivante, il remporte le Prix du Public et le Prix du Jury au concours international des « Jeudis du piano » à Genève.
Nima Sarkechik est diplômé du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris où il a étudié auprès de Georges Pludermacher et François-Frédéric Guy. De 2006 à 2008, il poursuit sa formation en Cycle de perfectionnement et reçoit les conseils des plus grands pianistes de la scène internationale.
Son premier enregistrement, paru en 2008 chez Zig-Zag Territoires (collection Printemps des Arts de Monte-Carlo), est consacré à Frédéric Chopin et Hugues Dufourt. Il a été récompensé par « 4 étoiles » du Monde de la Musique et « 5 Diapasons » du magazine éponyme.
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